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Iles où l'on ne prendra jamais terre
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23 octobre 2007

collage de délégués

Les élèves ont donc élu leurs délégués, de façon très sérieuse, avec bulletin vraiment secret, isoloir et tout et tout.

Et je m’aperçois non sans rire aujourd’hui que jusqu’à maintenant, comme par hasard, je n’ai collé que les délégués (avant et après les élections).  Pour insultes dirigées sur les copains, bavardages , pitreries.

Je me demande si mes zigotos n’auraient pas une tendance à se choisir des leaders négatifs…

Quoi la démocratie ?

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Commentaires
S
Après la thèse et l'antithèse, j'ai opté pour les prothèses :-)
S
Oublie le bain de boue, Ada, je suis sûr que tu n'en a pas besoin, mais c'est avec plaisir que je ferai couler dans les bassins de ton petit hammam un torrent de rubis surmonté d'une vague d'émeraudes...<br /> <br /> >je ne vois pas comment j'aurais pu commenter ces textes<br /> C'est exact, mais on peut toujours signaler qu'on en a apprécié la qualité littéraire ce que j'aurais du être le premier à faire. Mais, la remarque en réalité s'adresse plus généralement à l'ensemble des blogs qu'à tes deux textes en particulier. Je remarque que c'est souvent ce que je considère comme le meilleur travail d'écriture qui est le moins pris en considération, comme si, dans l'ensemble, les bloggers se satisfaisaient plutôt de la médiocrité puisqu'elle conduit bien plus fréquemment les lecteurs à blablater.<br /> <br /> En tout cas tu as bien fait de faire de ton blog un divan. Moi je n'ai fait de mon blog qu'un triste sommier en ferraille, sans matelas avec tout juste une botte de paille, celle que mon âne refuse de bouffer, en guise d'oreiller. Un psy ne passerait pas plus d'une minute dans une telle écurie, même en se bouchant le nez. Si bien que la volaille et les cochons préfèrent dormir dehors.
A
des prothèses pour mordre... :-D
A
La prochaine fois Scheiro offre moi des rubis ou des emeraudes: je préfère. Quoi que je ne sois pas non plus contre un bain de boue de temps ne temps. Ca fait une jolie peau...<br /> Quelle idée Scheiro, je ne déchaîne aucun ressentiment, mais moi-même je ne vois pas comment j'aurais pu commenter ces textes dont tu parles. Ils sont sortis c'est tout: un peu comme sur un divan on n'attend pas forcément de retour: oui voilà ce blog est devenu mon divan et je dors je dors ! Même si je ne les aime pas je vais faire avec, ça fait partie de ma vie en ce moment. L'adversité fait ressortir le passé on dirait. <br /> Quoi qu'il en soit voici que sonne le rével: j'ai une offensive armée à préparer....
S
Reversibilité de la démocratie, aurait peut-être dit Baudrillard, Ada. Certains jours, je suis persuadé que c'est du côté des antipodes qu'il faudrait s'installer, ça contrebalancerait certainement ce que nous devons vivre dans cette pseudo démocratie.<br /> Bon, courage et je t'assure que je n'aimerais pas être à ta place, chère Ada.<br /> En tout cas je suis bien content que tu sois de retour sur la toile, je me sens chaque fois moins seul quand je pense que quelques personnes comme toi sont en ligne.<br /> Je deviens vieux, tu sais, et mes dents ne sont plus aussi solides qu'avant, bien que je n'ai pas perdu de force quand au fonctionnement de mes mâchoires. Mais rassure-toi, mes nouvelles dents d'aciers, des prothèses tout juste ajustées, feront encore mieux l'affaire que mes précédents chicots délabrés à force de bouffer et de mordre n'importe quoi.<br /> Je repasserai commenter le texte qui parle d'une femme éplorée et celui, parfaitement ciselé, qui parle de liberté. C'est étrange qu'il n'y ait encore personne qui n'ait inscrit le moindre mot sous ces deux billets. Tu as une explication ? Je me demande si tu n'excites pas le ressentiment des bloggers qui forcement n'arrivent pas à produire de textes à ta hauteur. Moi le premier mais je ne suis pas amer parce que je sais que, quoi que j'écrive, tu auras toujours une longueur d'avance sur moi, c'est comme çà : je suis la gangue et tu es le pur saphir ;-))
Iles où l'on ne prendra jamais terre
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