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Iles où l'on ne prendra jamais terre
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30 décembre 2007

Soupe à l'oignon

au_chaud_sur_la_grand__place

Je me laisse aller à imaginer ce que cet homme peut bien lire avec ce visage si impavide. De là où je suis je ne  peux voir en quelle langue est le journal.

Les nouvelles peuvent-elles vous attrister quand vous vous préparez à manger une bonne soupe à l'oignon en regardant les têtes de patineurs filer sur la grand place de Bruges ?

Mon compagnon me demande d'où je sais qu'il va manger de la soupe à l'oignon. Ma rêverie naïve se brise en éclats de rire.

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Commentaires
A
C'est une bonne question : peut-on être vraiment triste quand les choses ne nous touchent pas directement ? et aussi : a-t-on envie de l'être ?est-ce qu'on cherche à se protéger ? ça me fait penser à la chanson d'Eicher "déjeuner en paix".
F
J'aime bien comme toi contempler et imaginer la vie des autres...
A
Zorlub: bienvenue à toi, et bravo pour avoir réussi à lire le titre du journal. Tu as sûrement raison avec Delest, ce soir je vais me contenter de ne pas savoir ! Bonne soirée à vous deux et à Saperli.
Z
Le titre du journal est "Het Laatste Nieuws", c'est donc du néerlandais. <br /> Quant aux nouvelles... belges ou internationales, elles ne donnent pas envie de rire !
D
Certes, certes, on peut même être attristé dans ce cas là. <br /> Par exemple si on lit précisément dans le journal l'explication de la hâte des patineurs, sur la belle place de Bruges : " Une épidémie de gastro-entérite, dûe à des oignons avariés, fait courir toute la ville...".<br /> <br /> (Bon, nous avons encore plus de 24 h avant le réveillon, j'espère que tu ne m'en voudras pas trop).
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